MEDECINE REGENERATIVE
“Une toute nouvelle approche de la médecine”
EN QUELQUES MOTS …
La médecine régénérative est en train de révolutionner le monde médical en offrant de nouvelles perspectives pour le traitement de diverses maladies. Cette discipline innovante se concentre sur la régénération des tissus endommagés et utilise des techniques avancées telles que la plasmathérapie et les cellules mésenchymateuses pour traiter des pathologies qui étaient autrefois considérées comme incurables.
Ces avancées spectaculaires dans la médecine régénérative ont suscité de grands espoirs quant à l’avenir. En effet, la possibilité de régénérer des tissus endommagés ou de remplacer des organes défaillants peut révolutionner la médecine et améliorer considérablement la qualité de vie des patients.
OBTENIR UN DIAGNOSTIC
DEUX TECHNOLOGIES
DES ESPOIRS FONDES SUR DES ETUDES SCIENTIFIQUES
La médecine régénérative constitue l’une des plus belles avancées récentes du secteur médical. Actuellement de très nombreuses équipes de recherches internationales travaillent sur le sujet et le nombre de publications annuelles ne cesse de croitre. Cette médecine ouvre la voie à de sérieuses et prometteuses applications.
Plasmathérapie (PRP)
La plasmathérapie consiste en pratique, à concentrer les plaquettes, les prélever au sein du plasma sanguin après en avoir retiré les globules rouges puis à les réinjecter dans les tissus endommagés afin de lancer un processus de régénération tissulaire.
Cellules mésenchymales autologues
Ce sont des cellules qui ont la capacité de se renouveler perpétuellement et de se différencier en de nombreuses cellules spécialisées. On apporte des cellules qui vont se transformer en cellules du tissu environnant et réparer la zone endommagée
LA PLASMATHERAPIE
Plasma Riche en Plaquettes (PRP)
PRINCIPES DU TRAITEMENT
Notre sang est composé de différents éléments cellulaires (globules rouges , globules blancs et plaquettes) qui baignent dans un liquide que l’on appelle plasma. La plasmathérapie (PRP) consiste à concentrer les plaquettes, les prélever au sein du plasma après en avoir retiré les globules rouges puis de les réinjecter dans les tissus endommagés afin de lancer un processus de régénération tissulaire.
Nous recréons ainsi une inflammation aigue afin de relancer un processus de régénération
Quels sont les différents domaines d’application …
Nous répondons à vos questions
Notre sang est composé de différents éléments cellulaires (globules rouges , globules blancs et plaquettes) qui baignent dans un liquide appelé plasma. La plasmathérapie (PRP) consiste dans le fait de concentrer les plaquettes, de les prélever au sein du plasma après en avoir retiré les globules rouges puis de les réinjecter dans les tissus endommagés afin de lancer un processus de régénération tissulaire. Les plaquettes contiennent de nombreux facteurs de croissance tels que VEGF, IGF, TGF, PDGF, NGF… Tous ces facteurs de croissance stimulent la prolifération et la division cellulaire. Ils vont notamment stimuler la production de cellules fibroblastiques et leurs dérivées, la croissance de microcapillaires (néoangiogénèse) ainsi que de petits nerfs dans la zone injectée. Leur rôle dans la cicatrisation et le renouvellement cellulaire est fondamental. Le PRP stimule également les cellules souches du tissus environnant.
Avant toute intervention, le médecin vous recevra en consultation médicale initiale au cours de laquelle il répondra à l’ensemble de vos questions. Le jour de l’intervention, le patient est installé sur le divan médical puis nous lui prélevons plusieurs millilitres de sang (entre 20 et 40 ml). Nous faisons une première analyse sanguine afin de déterminer les paramètres hématologiques initiaux. Nous connaissons ainsi sa concentration plaquettaire initiale. Ensuite le sang est passé en centrifugeuse pendant plusieurs minutes. Une fois centrifugé, le sang est devenu biphasique. Les globules sont séparés du reste du plasma. Puis, nous prélevons le plasma et nous faisons une deuxième analyse biologique sur le PRP. Cela nous permet de connaitre exactement le taux de plaquettes récupérées et qui seront injectées. Cette étape est primordiale. Il existe de nombreux praticiens qui ne font encore pas ces analyses et nous devons les y encourager. Il ne reste plus qu’à injecter le PRP dans les zones concernées. A la fin de l’intervention, votre médecin vous remettra un rapport médical comportant toutes les informations biologiques et cliniques concernant le geste que vous avez subit. Ce rapport pourra être transmis à votre médecin traitant le cas échéant.
Ces injections sont des injections dites « autologues ». Il s’agit de votre sang et de vos propres cellules plaquettaires. Elles n’engendrent généralement pas de réactions allergiques ni rejet. Il peut cependant y avoir des réactions inconfortables de type inflammatoire (douleur, chaleur, rougeur, gonflement). Ceci est normal voire même attendu. L’injection de ce PRP va provoquer dans un premier temps une inflammation localisée. Toute régénération débute par un processus inflammatoire. Ensuite viendra le temps plus ou moins long de la régénération des tissus.
Il n’existe pas de réelles contre indications mais par principe nous nous refusons d’injecter dans des zones cancéreuses ou les femmes enceintes. Les patients sous traitements anticoagulants n’ont pas de véritables contre indications. Les plaquettes sont pro-aggrégantes.
Il n’y a pas de règle. Chaque traitement est adapté en fonction du patient et de l’état de ses lésions. Une seule séance peut suffire comme parfois trois interventions seront nécessaires.
Généralement 6 semaines sont nécessaires pour se faire une bonne idée de l’effet de l’injection de PRP. Bien que les bénéfices peuvent encore augmenter avec les semaines qui suivent.
Les AINS et les corticoïdes sont formellement contre indiqués 10 jours avant et 10 jours après toute injection de PRP. Le mieux étant de ne plus en prendre du tout par la suite. En fait, ce sont deux principes totalement opposés. Toute régénération débute par une inflammation. L’usage d’anti inflammatoires casse le processus de régénération.
Domaines d’application
Notre sang est composé de différents éléments cellulaires (globules rouges , globules blancs et plaquettes) qui baignent dans un liquide appelé plasma. La plasmathérapie (PRP) consiste dans le fait de concentrer les plaquettes, de les prélever au sein du plasma après en avoir retiré les globules rouges puis de les réinjecter dans les tissus endommagés afin de lancer un processus de régénération tissulaire. Les plaquettes contiennent de nombreux facteurs de croissance tels que VEGF, IGF, TGF, PDGF, NGF… Tous ces facteurs de croissance stimulent la prolifération et la division cellulaire. Ils vont notamment stimuler la production de cellules fibroblastiques et leurs dérivées, la croissance de microcapillaires (néoangiogénèse) ainsi que de petits nerfs dans la zone injectée. Leur rôle dans la cicatrisation et le renouvellement cellulaire est fondamental. Le PRP stimule également les cellules souches du tissus environnant.
Avant toute intervention, le médecin vous recevra en consultation médicale initiale au cours de laquelle il répondra à l’ensemble de vos questions. Le jour de l’intervention, le patient est installé sur le divan médical puis nous lui prélevons plusieurs millilitres de sang (entre 20 et 40 ml). Nous faisons une première analyse sanguine afin de déterminer les paramètres hématologiques initiaux. Nous connaissons ainsi sa concentration plaquettaire initiale. Ensuite le sang est passé en centrifugeuse pendant plusieurs minutes. Une fois centrifugé, le sang est devenu biphasique. Les globules sont séparés du reste du plasma. Puis, nous prélevons le plasma et nous faisons une deuxième analyse biologique sur le PRP. Cela nous permet de connaitre exactement le taux de plaquettes récupérées et qui seront injectées. Cette étape est primordiale. Il existe de nombreux praticiens qui ne font encore pas ces analyses et nous devons les y encourager. Il ne reste plus qu’à injecter le PRP dans les zones concernées. A la fin de l’intervention, votre médecin vous remettra un rapport médical comportant toutes les informations biologiques et cliniques concernant le geste que vous avez subit. Ce rapport pourra être transmis à votre médecin traitant le cas échéant.
Ces injections sont des injections dites « autologues ». Il s’agit de votre sang et de vos propres cellules plaquettaires. Elles n’engendrent généralement pas de réactions allergiques ni rejet. Il peut cependant y avoir des réactions inconfortables de type inflammatoire (douleur, chaleur, rougeur, gonflement). Ceci est normal voire même attendu. L’injection de ce PRP va provoquer dans un premier temps une inflammation localisée. Toute régénération débute par un processus inflammatoire. Ensuite viendra le temps plus ou moins long de la régénération des tissus.
Il n’existe pas de réelles contre indications mais par principe nous nous refusons d’injecter dans des zones cancéreuses ou les femmes enceintes. Les patients sous traitements anticoagulants n’ont pas de véritables contre indications. Les plaquettes sont pro-aggrégantes.
Il n’y a pas de règle. Chaque traitement est adapté en fonction du patient et de l’état de ses lésions. Une seule séance peut suffire comme parfois trois interventions seront nécessaires.
Généralement 6 semaines sont nécessaires pour se faire une bonne idée de l’effet de l’injection de PRP. Bien que les bénéfices peuvent encore augmenter avec les semaines qui suivent.
Les AINS et les corticoïdes sont formellement contre indiqués 10 jours avant et 10 jours après toute injection de PRP. Le mieux étant de ne plus en prendre du tout par la suite. En fait, ce sont deux principes totalement opposés. Toute régénération débute par une inflammation. L’usage d’anti inflammatoires casse le processus de régénération.
CELLULES MESENCHYMALES AUTOLOGUES
Injection de cellules stromales mésenchymateuse autologues
Principe du traitement
Une cellule CSM est une cellule indifférenciée qui a la capacité de se renouveler perpétuellement et de se différencier en de nombreuses cellules spécialisées. Il existe plusieurs types de cellules autorégénérantes. Nous utilisons ici des cellules CSM prélevées dans votre propre tissu graisseux. Le tissu adipeux et particulièrement le tissu péri vasculaire comptent près de 2 a 4 % de cellules prorégénératrices.
Les différents domaines d’application …
Les injections esthétiques de type nanofat
Les traitements othopédiques
Nous répondons à vos questions
Une cellule CSM est une cellule indifférenciée qui a la capacité de se renouveler perpétuellement et de se différencier en de nombreuses cellules spécialisées.
Il existe plusieurs types de cellules souches.
Les cellules souches totipotentes peuvent se différencier en n’importe quel type cellulaire et ainsi donner un organisme entier. Ce sont des cellules embryonnaires au stade très primitif.
Les cellules souches pluripotentes peuvent donner tout types cellulaires exceptées les annexes embryonnaires.
Les cellules souches multipotentes sont des cellules capables de se différencier dans de nombreux types cellulaires tout en restant dans une certaine lignée cellulaire. Ce sont les cellules souches que l’on retrouve dans les tissus adultes et que nous utilisons pour les thérapies en clinique. On utilise principalement les cellules souches hématopoïétiques prélevées dans la moelle osseuse ou les cellules souches mésenchymales que l’on prélève dans le tissu sous cutané en zone périvasculaire.
Principalement, à l’heure actuelle, ce type de traitement cellulaire autologue a été étudié dans l’arthrose et les pathologies articulaires de manière plus générale (genoux, hanches, épaules…). En effet les études récentes montrent de bons résultats sur les prises en charge précoces des atteintes arthrosiques. Cela permettrait de retarder la pose de prothèse articulaire et également de traiter des patients trop jeunes pour pouvoir bénéficier de prothèses.
Il semblerait que les injections de cellules autologues au niveau du cuir chevelu donnent de bons résultats pour le traitement de l’alopécie.
Enfin, en esthétique, mixées à un lait de graisse, les injections dans le visage et le décolleté donnent de très beaux résultats.
Avant toute intervention, le médecin vous recevra en consultation médicale initiale au cours de laquelle il répondra à l’ensemble de vos questions.
Le jour de l’intervention, le geste se déroulera en deux temps. L’un à la suite de l’autre. L’intervention dure en moyenne entre 1h30 et 2h00.
Dans un premier temps, le médecin procédera à une anesthésie locale dans une zone idéale pour le prélèvement (fosses lombaires ou intérieur du genou). Ensuite du tissu sous cutané sera cureté dans la zone périvasculaire. Ce matériel biologique sera ensuite centrifugé afin d’en extraire les cellules autologues. Pas de digestion enzymatique du tissu adipeux dans notre méthode.
Un prélèvement de sang sera également effectué en parallèle afin d’en extraire du PRP.
Une fois obtenus, les cellules autologues et le PRP seront réinjectés dans votre organisme, après un laps de temps relativement court, au niveau de la zone à régénérer.
Nous ne traiterons pas les patients suivis en oncologie. Il demeure des contre indications relatives qui seront évaluées en fonction des patients.
Des phénomènes inflammatoires sont attendus durant les quelques jours qui suivent l’intervention (douleur, chaleur, rougeur, gonflement). Il peut y avoir également des hématomes dans la zone de curetage. En outre, durant les quelques heures après le geste, du liquide anesthésiant s’écoulera par les points d’entrée des canules. Il faudra protéger la zone.
Il faut compter plusieurs mois avant de se prononcer. La régénération cellulaire prend du temps. Mais après 6 mois, nous pouvons déjà avoir une bonne idée du résultat.
Les AINS et les corticoïdes sont formellement contre indiqués 10 jours avant et 10 jours après toute intervention. Le mieux étant de ne plus en prendre du tout par la suite. Il est conseillé de rester tranquille quelques jours à la suite du geste.
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